vendredi, avril 30, 2004  
[18:30
Je crois que Rose n'a vraiment pas envie de venir jouer au volley. Jusqu'ici, après une première expérience, elle avait pourtant tou-jours réussi à se défiler. Ce soir, pas d'excuse à l'horizon.
Mais son corps lui fournit le "je suis faible, tu ne peux pas aller faire du sport".
Facile ça. Je suis sûre que c'est aussi pour ne pas aller à la Freibad demain, avec moi. Grumbl.
   
 
[18:02
De la chélidoine.

Maxaan a juste besoin qu'on lui secoue un peu les puces. Il s'efface devant une autorité reconnue. Nous larvions donc, appréciant la vie et un brunch dominical languissant, ou bien affalés dehors, à la table du jardin, lorsque la tornade déterminée est arrivée.
Le classique pain rassis (moi je dis : pour faire rassir les infâmes französische Baguette qui ressemblent à des pains tout durs et qui coûtent 1.54€, il faut vraiment être fort. Respect. Respect admiratif.), un bout de sauc' et... "Mais elle est déguelasse la terre de votre jardin ! Allez viens Maxaan, on va voler de la terre dans les champs !"
Et Maxaan d'obtempérer.

Sur ce, satisfait, il s'installa dans la chaise longue la clope au bec et un bouquin sur les genoux... "Non mais tu vas pas faire une pause maintenant ! Il faut bêcher le jardin !"
Et Maxaan d'obtempérer.
Je passe sur le fait que quand c'est moi qui demande, que dalle.
L'après-midi du dimanche fut donc fort active ; j'en suis ressortie avec un coup de soleil sur le bout du nez. Bleuets, pensées, muguets hésitants, thym, radis pourtant faiblards, basilic en fleurs, persil, chélidoine, platane déplacé, rhubarbe sur son tertre ("Il faudra aller rechercher de la terre !" -- forcément, depuis que la tornade est partie, Maxaan a retrouvé ses bonnes vieilles habitudes)...

Je suis é-pui-sée.
Et j'attends désespéremment la pluie. Il ne pleut jamais, ici. Maximum deux jours par mois, depuis juin dernier. Je le sais, j'ai compté...
   
 
[17:42
Des hyménoptères.

C'est marrant, les guêpes sont encore toutes minuscules, et surtout, la différence d'avec les frelons, c'est qu'elles ont de longues pattes.
Les frelons ont déjà atteint la taille de guêpes dodues. On peut déjà repérer leur vol plus lourd, moins nerveux.

[EDIT] Amusant. Je viens de lire sur le site (tout moche -ils auraient bien besoin de quelqu'un qui leur fasse des pages oueb) de l'INRA que "la femelle (...) est pourvue d'un aiguillon". Pas le mâle, donc. C'est comme les moustiques, ça.
   


   jeudi, avril 29, 2004  
[11:09
[span class="Thema_wechseln"]
Au fait, et ta thèse ?

...Ah ben ça alors. Depuis la Bretagne, curieusement, elle m'était com-plè-te-ment sortie de l'esprit.
Oui mais après la Bretagne :
- j'ai fait mes adieux déchirants à Ursula (Docteur Ursula svp) ;
- puis Rose a débarqué et il a bien fallu que l'on apprenne à se connaître ;
- et il y a eu les dossiers de candidature de 12.000 pages à faire ;
- et le ski à Chamonix dans une poudreuse qui n'était même pas de printemps ;
- et puis (en-fin) la fin des vacances étudiantes et la reprise du volley...
- ...accompagnées comme il se doit des pots après,
- et aussi, les pots après les danses bretonnes enfin BREF de quoi s'occuper l'esprit un peu à 100%.

Mmh ceci étant dit, mardi j'ai eu RDV à l'Arbeitsamt, mon ANPE préférée. Les rapiats, ces teutons. Ils ne payent pas le chômage plus d'un an -je me demande si en France, ce n'est pas plus long. Et pour bénéficier ensuite de l'Arbeitslosenhilfe (et non plus ...geld), une "sorte d'aide sociale", il faut justifier de ressources insuffisantes. Oui mais pour obtenir le permis de séjour (la green card UE, quoi -c'est nul) il faut justifier de ressources suffisantes...

Bref. Soit je finis cette thèse, soit je trouve du boulot. par ici, ce serait bien en fait. Un an ou deux.
Enfin ché pas. La France, c'est mieux, quand même.
Oui mais avec le soleil qui brille dans le jardin bouleversé et pomponné de fond en comble, et l'apaisante tranquillité d'un barbecue, et la maison et le coeur ouverts (et aussi la neige en hiver ; mais là sur le coup ce n'est pas cela qui m'apporte ce sentiment de plénitude que je ressens là maintenant tout de suite... -ce que je ressentirais du moins si je n'étais pas désepéremment toute seule abandonnée, vide (je l'ai déjà écrit plus haut bas) et mélancoliquement incertaine), et les sombres collines environnantes se parant de leurs verts nouveaux, et la Freibad qui ouvre samedi (vivement nager !), je me sens bien. C'est ponctuel, certes ; mais là tout de suite je suis bien.

[/span]
   
 
[10:35
C'est incroyable comme on peut vite devenir dépendant.

Pas le temps de souffler, depuis vendredi soir. pas un seul instant. Sauf maintenant, où je suis vidée -vide. Seule, soudain. Avec de longues heures qui s'étirent devant moi, à utiliser pour moi, sans avoir à gérer mon temps en fonction de tel ou tel impondérable...

Petit résumé ?
Il a bien fallu, vendredi après le volley, que l'on fasse découvrir notre bouge polonais à Rose, notre nouvelle coloc'. Coup du hasard : c'était l'anniversaire de Bacha, la patronne. Ambiance guillerette, bière, vodka (de la Zubrowka SVP) à flot, accompagnée de l'inévitable jus de pomme, et pis un prix de gros.

Samedi... Mmmhgnn qu'avons donc nous fait, samedi ? Tout est flou... Sauf que le soir, donc, c'était l'anniversaire de Bacha, et après avoir mangé (et bu quelques petits schnaps maison) avec les copains bulgares de Rose, nous avons retrouvé Wanig, notre accolyte Suppschlür (euh ça s'écrit comment, ça ? C'est du patois Münsterois...) préféré, histoire d'aller arroser comme il se doit l'évènement. Dur dur, le Alte Simpl. Arrivés assez tard, nous dûmes donc nous mettre dans le bain assez vite. Pour un peu, on serait même partis... Mais une Hefe, et tout de suite, l'horizon s'éclaire. Je n'ai pas arrêté de me faire voler mes bières, mais bon, pas grave.
Je crois qu'au fond, à la fermeture vers 4h30, ce n'était pas la plus fine idée qui soit d'aller boire "un dernier verre" à La Cave (il faut bien trouver des endroits encore ouverts), surtout que le whisky et le double gin fizz après la sacro-sainte vodka et surtout la "Levure", well... Heureusement, la colline de Pfrondorf et son dénivelé rébarbatif pour la plupart des cyclistes possède des propriétés de dégrisage assez appréciables. J'en ai encore des bleus, tiens.
Quel plaisir, donc, d'aller au lit après... un dernier verre, bien sûr, pour accueillir l'aube naissante.

Et ce que j'aime le plus, dans ce genre de situations, soyons honnêtes, profondément déraisonnables, ce sont les lendemains. Inutile de la préciser, nous avions ramené Wanig dans nos bagages et, au lieu des 3 autochtones habituels, la maison fut remplie en ce dimanche "matin" (si si, avant midi en plus ; on est trop forts !) d'une huitaine hétéroclite de ventres affamés aux yeux certes petits, souriants néanmoins.
Et l'artiste s'assit devant notre piano à queue trop souvent délaissé. Il fit courir ses doigts sur les touches, emplissant d'une nuée d'arpèges cristallins nos oreilles émerveillées. Contentement, profond. Simplicité, sourire. La vie est belle, l'on est comblé.

Alors voilà. Je suis emplie d'amour. J'aime Wanig. Je suis comblée. Et j'aime Rose. Je suis aux anges.

...Voilà pour l'intro et le premier jour de mon dimanche.
Comme à Bordeaux, lorsque je bossais déjà et habitait encore au R1, une résidence étudiante (insalubre) pleine là encore de souvenirs et d'émotions douloureuses -quand c'est trop intense, c'est toujours toujours douloureux- : j'avais ma journée de boulot avec les collègues (top professionnalisme), ma sieste, et ma (hum) journée débridée avec les p'tits jeûnots des promos du d'ssous. Quelques heures de sommeil là-dessus, et rebelote.
Donc ici, pareil : mon dimanche comprenait en réalité deux jours.
   


   jeudi, avril 22, 2004  
[03:02
Ah c'est malin, ça. 600 pages en 4 jours, original version en plus, de ce bouquin. Grumbl. Je vais lire quoi, moi, maintenant ?
Pire que lors de mon stage en ferme -pardon, en exploitation agricole. J'y avais lu Dune et quelques suivants, de Frank Herbert (mais à mon grand dam sans enthousiasme fervent), et surtout, surtout... J'avais mis le nez dans un truc qui s'appelle "La trilogie des joyaux", emprunté sur le pouce, et la folie Eddings s'est insidieusement développée en moi, pourquoi, comment, je ne sais plus...
(Mais un film : non! :p)
   


   mercredi, avril 21, 2004  
[22:41
Un petit exemple de la notion d'urgence.

Juste après déjeuner (..vers 16h donc), coup de fil. Petite voix étouffée : "Tu peux venir me chercher au boulot ? C'est urgent !" Les embouteillages... 1/2h, 45 minutes plus tard, je me pointe pour découvrir que la victime ne pouvait plus ouvrir l'oeil droit, pour cause (?) de jet de xylol malencontreusement interceté, et qu'elle devait "en urgence" ête emmenée aux urgences !
Efficace et trèèèèès rationnel.

N'empêche : il est beau, notre jardin, sous la caresse printanière des rayons du soleil déclinant.
   


   mardi, avril 20, 2004  
[17:33
Hier soir, WG meeting. Réunion de colocataires, quoi ; à l'instigation de Rose, la nouvelle. Quelle femme, mes aïeux ! Réussir à faire se remuer un tant soit peu les deux éléments masculins de notre home sweet home ! L'attrait de la nouveauté, sûrement.

Un résumé des points critiques :
- les poubelles : "Quoiiiiii ? UNE SEULE personne responsable, chaque mois ?! Oh non, c'est beaucouuuuup..." Rappelons que les poubelles sont ramassées deux fois par mois. Trop contraignante, la tâche.
- le ménage : "Comment ça, y faut ranger, avant de faire le ménage ?"
- l'argent commun pour les produits d'entretien et tout : "Oui mais moi j'aime pas ton Ajax, alors je me suis acheté POUR MOI du Frosch Essig Reiniger [NDLT: "nettoyant au vinaigre de grenouille", un truc qui pue - Die spinnen die Schwaben [re-NDLT: y sont fous ces souabes] !]
- le réapprovisionnement desdits (?) produits : "Ah, mais moi je n'ai pas racheté de PQ la dernière fois, parce que comme je n'ai pas de voiture, même si c'est moi qui prend le dernier rouleau ET qui suis d'ailleurs en charge de la salle de bain, et ben ce n'est pas à moi d'aller en racheter." "Oui mais tu pourrais éventuellement dire que tu as pris le dernier, non ?" "Mais j'ai pas de voiture."
- le téléphone et internet ? Et les opérateurs pas chers ? Les deux dernières factures sont embrouillées, terrible. Je ne reviens pas sur ces $*%¨^# de Telekom. (pour le "internet coupé" d'il y a deux semaines, c'est normal.... J'ai essayé d'expliquer au coloc responsable de l'abonnement au provider que, si on ne payait pas, Internet n'avait aucune chance de fonctionner. Le sus-nommé a paru troublé.)
- les économies d'énergie (histoire de ne pas avoir à payer PAF! d'un coup d'ici la fin du mois le surplus de charges de la dernière année... Je ne sais pas si ça vous dit quelque chose, moi ça ne me dit rien sauf que c'est beaucoup, mais sur UN AN la facture d'électricité s'élève à 877 €, et l'eau à 910 €. Enfin en gros. J'ai délicatement soulevé le thème du "après la douche du matin, ça ne sert pas forcément à grand chose de laisser le radiateur à fond toute la journée..." mais on m'a rétorqué que quand j'allais dans le jardin je laissais bien la porte-fenêtre ouverte ; donc je n'avais pas mon mot à dire.

A part ça, détrompez-vous : c'est chouette, la vie en communauté... On s'installe confortablement dehors, au milieu de notre beau jardin, un sirop de grenadine à la main... on parle de tout, de rien, des framboises, des relations hommes-femmes (avec Rose, on joue les assistantes psychologues de lycée), de la baisse du prix de l'essence tous les lundi... Evidemment, il y a bien la fontaine des voisins qui fait "glouglou", et puis, il faut dire. Les AUTRES voisins, ceux qui nous critiquent (quoique paraît-il, ceux qui ont cafté notre jardin auprès de la proprio n'ont même pas une vue sur celui-ci), ont une grosse coccinelle rouge (un bac à sable) en plein milieu de leur gazon anglais et c'est moooooche ! Non sans rire ça agresse l'oeil. Je devrais leur dire de l'enlever ; quand on a des invités, j'ai honte, moi. Pff. Et râler aussi sur Patate, leur môme de 3 ans qui hurle en permanence ?
Non. Je suis pour les relations de bon voisinage. Moi.
   


   lundi, avril 19, 2004  
[14:40
Alors. Ceci n'est plus mon journal pas si intime (quoiqu'en dise le titre), ceci est un blog. Sur un blog, on peut donc répondre a des questionnaires comme celui-ci :

1.) La question grand-papa : Brel ou Brassens ?

--> Brassens
1.b) "L'Auvergnat" ou "Les Bancs Publics" ?
--> "Les passantes" (comme c'est un jeune blog, j'ai le droit de faire semblant de ne pas connaître les règles du jeu)
2 & 2b) --> nichts
3) La question copain : Renaud ou Goldman ?
--> Goldman...
3.b) "Je marche seul" ou "On Ira" ?
--> ...sauf l'album avec "on ira" (l'avant-dernier ?) Alors "Puisque tu pars"
4) La question rock'n roll : The Beatles ou Elvis ?
--> Elvis ! Mais c'est nouveau. C'est depuis que mon cher et tendre m'a force a utiliser kazaa pour lui telecharger Edith Piaf et du rock'n'roll.
4.b) "Jailhouse Rock" ou "Blue Suede Shoes" ?
--> "Jailhouse Rock", plus entrainant.
5) / 6) --> nichts & nichts
7) La question vieux con : Star Wars (4, 5, 6, je parle pas des merdes) ou Indiana Jones (1,2,3, je parle pas des jeux vidéos) ?
--> Indiana Jones
8) / 9) / 10) --> NSPP
11) La question foncedée : Pink Floyd ou The Rolling Stones ?
--> Pink Floyds
11.b) "Comfortably Numb" ou "Shine on you crazy diamonds" ?
--> "Wish you were here" mais sinon "Shine on you..."
12) La question du futur layout : noir/blanc ou blanc/noir ? (c'est une question piège, d't'façon y'aura les deux. Bientôt sur vos écrans. Ne zappez pas.)
--> n/b parce que mon écran est sale. Quoique, ça va faire mal aux yeux...
   
 
[01:29
Coopération d'un breton rencontré dans un bar :

Dix-sept minutes plus tard, on apprit qu'un deuxieme avion s'etait ecrase sur le World Trade Center.
in: Michael Moore, "Tous aux abris"
   


   dimanche, avril 18, 2004  
[21:31
C'est malin, ça. Moi qui ai un weblog depuis à peine quelques heures... Via iria :

A straight line with a slope of 8.5 can be thrown through the data.
in: URBAN AIR QUALITY / Measurement, Modelling and Management. Edited by Ranjeet S. Sokhi, Roberto San José, Nicolas Moussiopoulos, Ruwim Berkowicz.

1. Prenez le livre le plus proche de vous,
2. Ouvrez le livre à la page 23,
3. Trouvez la cinquième phrase,
4. Publiez cette phrase dans votre weblog, ainsi que ces instructions.
   
 
[19:25
Ouf ! Vu que le FTP de free plante encore, il a bien fallu que je me débrouille avec les images que j'avais sous la main (i.e. déjà sur le net) pour créer un... comment dit-on "template" en français ? "Feuille de style" ? Bref, pas prise de tête du tout...
   
 
[16:54
Non, non et non ; je ne craquerai pas et ne poursuivrai pas mes récriminations mesquines... Par contre... Well ; je n'ai pas dit que je renoncerai à m'exprimer... D'ailleurs...

Par exemple ; en rentrant du ski, hier, surprise ! Une maison propre ! Une coloc souriante, avec qui on a bu un petit verre (pour se remettre de notre ardu voyage). Certes... La facture Telekom. Inexplicablement basse ; cela ne me plaît pas. Ils doivent préparer un coup vicieux, ceux-là . Et puis une lettre de la proprio, avec les charges DE L'ANNEE à payer. Paf! comme ça ; d'ici fin avril sinon c'est 60 euros de bonus.
Et puis, nous écrit-elle, les voisins se plaignent. De notre Restmüll qui déborde (c'est normal - le coloc en charge a oublié de la vider depuis un mois ; alors ça attire les martres). De notre jardin qui est une jungle. UNE JUNGLE ??! Le comble !!! C'est qu'ils sont jaloux, c'est tout. Nous avons des muscaris optimistes, émaillant de leur violet lumineux les plate-bandes où les iris font semblant de pousser ; de rouges et altières tulipes au côté des rosiers qui se sont décidés à déployer leurs premières feuilles ; des jonquilles jaunes fleurant bon la vanille, donnant la réplique à nos buissons de primevères qui se déclinent dans toutes les teintes du jaune pâle au mauve soutenu... Et les framboisiers prometteurs, taillés de frais tout comme le pommier, les groseillers, le cassisier ; et les petites touffes de rhubarbe, luttant vaillemment pour exploiter leur liberté nouvelle issue de leur division... L'herbe verte, fournie.
Rha les jaloux.
Cela m'énerverait presque... Si je n'étais pas zen...
   
 
 
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